Selon Jean Podilă, le PDG du Groupe President, il y a encore de la place dans le tourisme en Roumanie.
La Roumanie souffre sans doute encore d’un manque de visibilité et de notoriété à l’étranger, en particulier au sein de l’Union Européenne. C’est essentiellement lié à des raisons historiques. Elle a pourtant pris un tournant décisif après la Révolution de 1989, il y a donc déjà près de 30 ans. Ce nouveau départ est une chance, une opportunité de faire connaître toutes nos richesses et nos trésors, culturels et humains. Le pays a un énorme potentiel qu’il nous faut mettre en valeur et faire partager.
Même si la concurrence touristique est indéniable, la Roumanie a des réels atouts à faire valoir.Du côté potentiel humain, il y a en Roumanie des hommes qui se sont battus et qui se battent jour et nuit pour avancer et progresser.
Voici un très bon exemple à suivre; un roumain qui chaque jour travaille pour changer la situation en Roumanie. Cliquez sur le lien suivant pour connaître cet homme :L’histoire de Jean Podilă, le créateur du complexe President de Băile Felix, Roumanie.
Mais cet homme d’affaires a encore des projets à mettre sur les rails en Roumanie. Cliquez sur le lien suivant pour en savoir plus sur ses nouveaux projets :Les nouveaux projets signés Jean Podilă, PDG du Groupe President de Băile Felix, Roumanie.
Comme moi, Jean Podila, pense lui aussi, que la Roumanie manque de visibilité à l’étranger
Voici son avis sur la question, je cite : « L’image de la Roumanie est un peu déformée à l’étranger, mais, moi je dis que ce n’est pas la vraie image. J’invite toute personne qui souhaite investir en Roumanie à s’y rendre pour analyser lui-même les faits.
Mais avant tout, il doit savoir ce qu’il souhaite réaliser. Si tu souhaites faire du tourisme, tu cherches dans la zone de tourisme. Nous n’avons pas de chiffres cachés. Mes chiffres peuvent être retrouvés sur le site du Ministère des finances.
Et les roumains qui ont fait appel à la ruse dans les affaires sont aujourd’hui, soit en prison, soit partis et cachés ailleurs. Et ceux qu’y sont restés, et qui travaillent et qui font du bon boulot peuvent s’associer.
Évidement l’association, n’est pas la seule option. Ceux qui s’y intéressent peuvent aussi investir seuls (à 100%). Pas besoin nécessairement de s’associer. Ils peuvent venir pour seulement acheter. Par exemple, moi, je suis disposé à vendre tous mes projets, parce que j’en ai d’autres. Ou, je peux aussi créer à leurs côtés. Donc il y a de la place pour les investissements en Roumanie. »
Dans quelle région y a-t-il encore de la place, lui ai-je demandé ?
Voici sa réponse, je cite :
« La région la plus attractive de Roumanie, selon certains, est la région de Bucarest. Mais arrêtons-nous dans mon secteur (le tourisme)! Nous avons besoin de beaucoup d’argent pour développer le tourisme et le potentiel du pays en ce domaine est unique.
- Prenons par exemple la région appelée Valea Jiului » , dit l’entrepreneur
Petite note aux investisseurs : Valea Jiului est une région du département de Hunedoara à potentiel énorme, un paysage magnifique (la région de mon enfance), une zone défavorisée. Des facilités particulières comme par exemple l’exemption du payement de l’impôt sur les sociétés sont accordées aux entreprises qui développent une activité dans les zones défavorisées de Roumanie. Pour plus de détails, concernant les zones défavorisées de Roumanie, écrivez-moi un mail à l’adresse contact@roomanies.com.
Voici quelques photos :




Je reprends le discours de Jean Podila…
Je cite : « Dans cette région, nous pourrions aménager quelques pistes de ski comme à l’étranger. Les gens ne réalisent pas les bénéfices qu’obtiennent les autrichiens avec leur pistes de ski. »
Petite note aux lecteurs : Jean Podila aime skier et il va 2 à 3 fois par an en Autriche.
Je le cite à nouveau : « Moi, j’achète mon ski-pass pour 4 ou 5 jours et je paye 250 euros. Je dépense encore 250 euros dans les locaux du haut de la montagne, plus le billet d’avion, plus le logement. Donc l’affaire tourne ! »
Voulez-vous savoir ce qui n’existe pas en Roumanie, me demande l’entrepreneur ?
- Je cite : « Si ici, en Roumanie, on construisait 3 parcs d’attraction du même genre que celui de Disneyland, ils seraient immédiatement pris d’assaut par le public. J’invite tout investisseur à s’associer avec moi. Je donne le terrain pour faire (ensemble ou seul) un parc de loisirs, un mini –Disneyland. On parle de 30 millions d’euros d’investissement.
Si par exemple, nous disposions d’un parc de loisirs ici, à Băile Felix, dans cette station thermale on aurait encore besoin de 10 hôtels parce qu’elle fonctionne 12 mois par an. Que 10 investisseurs viennent ! Et je leur prouverais avec des chiffres concrets et je leur montrerais les faits sur le terrain. Donc, croyez-moi, ça fonctionnerait ! »
Une autre idée d’affaire que propose l’homme d’affaires Jean Podilă, à tous ceux intéressés par les investissements en Roumanie est la suivante, je le cite à nouveau :
- « Il y a en Roumanie des régions dont les terres sont extraordinaires pour la production des légumes et les prix sont presque zéro tant ils sont faibles. Créer donc des dépôts de conditionnement, de conservation, de classement, et d’emballage. » …« Et on mange presque bio. »…
« Il y a beaucoup d’opportunités d’affaires en Roumanie et ce n’est pas trop cher. »,
- « Dans le tourisme, ajoute l’entrepreneur, il y a tellement de place. Des hôtels à moderniser, d’autres à rénover car abandonnés (construits avant les années 1989) et la demande en matière de logement touristique est grande. Il faut seulement venir avec des idées nouvelles. »
Conclusion finale de l’entrepreneur : « Il y a des opportunités en Roumanie, mais le principal obstacle qui se pose est la peur. Mais ce n’est pas vrai. Celui qui bosse, celui qui s’occupe de son affaire peut gagner de l’argent en Roumanie. » …« Tous ceux qui souhaitent découvrir la Roumanie, amenez-les ici à un info-trip, je les invite, je supporte toutes les charges, mais qu’ils viennent avec la conviction qu’on peut faire quelque chose ensemble. »
Mes conclusions
Si on prend en compte mon analyse de terrain, ainsi que mon interview avec Jean Podila, le PDG du Groupe President, de Baile Felix de Roumanie, on peut conclure :
- Vue que tous les projets lancés par Jean Podila, depuis 1990, ont été couronnées de succès, réussir dans les affaires en Roumanie, c’est possible ! Et les projets signés Jean Podila en sont une preuve !
- En ce qui concerne le soutien de la part du gouvernement, des progrès sont encore à faire.
- Pour ce qui est des infrastructures, dans certains endroits là, on est encore en retard.
Mais la Roumanie est un champ d’opportunités naturelles pour tous ceux qui souhaiteraient y développer un projet. Dans le tourisme par exemple, le pays n’est pas dépourvu d’atouts et la demande est importante.
Des possibilités dans d’autres secteurs existent.
Des entrepreneurs qui ont déjà fait leur preuves vous attendent en Roumanie, pour s’associer et travailler à vos côtés, ou pour vous offrir des affaires, et ou des idées clé en main.
Tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur les possibilités offertes par la Roumanie sont également conviés à lire l’article suivant : 5 bonnes raisons d’investir en Roumanie.
Note de fin d’entretien
J’ai beaucoup apprécié ma discussion avec l’entrepreneur roumain Jean Podilă. C’est un homme d’affaires qui cherche à rendre l’expérience de ses invités aussi agréable que possible et je tiens à le remercier publiquement pour ses conseils, vraiment utiles, ainsi que pour le fait d’avoir partagé avec nous son expérience et ses idées.
M. JEAN PODILA
Créateur de projets et de progrès, créateur de détente et de légèreté, créateur de divertissement et de bien-être.
17 ans d’expérience dans les affaires en Roumanie
5 entreprises, 230 employés, 17 millions d’euros de chiffre d’affaire
5 projets d’investissement prévus en Roumanie pour les 3 années suivantes
Des centaines, voire des milliers de services de détente, de bien-être, de divertissement, d’hôtellerie et de restauration vendus chaque jour
Originaire de Bihor, marié, trois filles, des petits fils, un associé
Personnalité : pensée créatrice, esprit d’initiative, ouverture, volonté de progrès
Passions : les affaires, (obligatoirement selon lui), la chasse, la pêche dans le Delta du Danube, skier en Autriche, et nager minimum 45 minutes par jour dans les piscines d’eau thermale qu’il a fabriquées lui-même.
Manies : faire progresser, faire avancer les choses, réaliser et construire
Mariana Antoneag